La femme qui possede tout en elle Pour donner le gout des fetes charnelles La femme qui suscite en nous tant de passion brutale La femme est avant tout
Si vous y tenez tant parlez-moi des affaires publiques Encor que ce sujet me rende un peu melancolique Parlez-m'en toujours je n'vous en tiendrai pas
Jadis, au lieu du jardin que voici, C'etait la zone et tout ce qui s'ensuit, Des masures des taudis insolites, Des ruines pas romaines pour un sou. Quant
Je veux dedier ce poeme A toutes les femmes qu'on aime Pendant quelques instants secrets A celles qu'on connait a peine Qu'un destin different entraine
J'avais dix-huit ans Tout juste et quittant Ma ville natale Un beau jour, o gue Je vins debarquer dans la capitale J'entrai pas aux cris D'"A nous deux
Gloire a qui freine a mort, de peur d'ecrabouiller Le herisson perdu, le crapaud fourvoye Et gloire a don Juan, d'avoir un jour souri A celle a qui les
Une manie de vieux garcon Moi j'ai pris l'habitude D'agrementer ma sollitude Aux accents de cette chanson {Refrain:} Quand je pense a Fernande Je bande
Ayant avecques lui toujours fait bon menage J'eusse aime celebrer sans etre inconvenant Tendre corps feminin ton plus bel apanage Que tous ceux qui l'
" Cher monsieur, m'ont-ils dit, vous en etes un autre ", Lorsque je refusai de monter dans leur train. Oui, sans doute, mais moi, j'fais pas le bon apotre
O vie heureuse des bourgeois Qu'avril bourgeonne Ou que decembre gele, Ils sont fiers et contents Ce pigeon est aime, Trois jours par sa pigeonne Ca
Sale petit bonhomme, il ne portait plus d'ailes, Plus de bandeau sur l'?il et d'un huissier modele, Arborait les sombres habits Des qu'il avait connu
Cette rose avait glisse de La gerbe qu'un heros gateux Portait au monument aux Morts. Comme tous les gens levaient leurs Yeux pour voir hisser les couleurs
Les copains affliges, les copines en pleurs La boite a dominos enfouie sous les fleurs Tout le monde equipe de sa tenue de deuil La farce etait bien bonne
La belle qui couchait avec le roi de Prusse Avec le roi de Prusse A qui l'on a tondu le crane rasibus Le crane rasibus Son penchant prononce pour les
veuillent Bien se passer de moi et pour enterrer les feuilles : Le vingt-e-deux septembre, aujourd'hui, je m'en fous. Jadis, ouvrant mes bras comme
J'ai pris la route de Dijon Pour voir un peu la Marjolaine La belle, digue digue don Qui pleurait pres de la fontaine Mais elle avait change de ton Il
C'etait l'oncle Martin, c'etait l'oncle Gaston L'un aimait les Tommies, l'autre aimait les Teutons Chacun, pour ses amis, tous les deux ils sont morts
Du temps que regnait le Grand Pan, Les dieux protegaient les ivrognes Des tas de genies titubants Au nez rouge, a la rouge trogne. Des qu'un homme vidait