Trois p'tits tours et silence ! C'est ca qui m'affecte Quand on m'aime, je danse Quand on veut, j'apparais... Trois p'tits tours et silence ! J'suis pas
Pardonne-moi si la douleur remue tout Qu'elle me broie De t'aimer comme un fou Que tu n'es pas Pardonne-moi Pardonne-moi La profondeur de mon amour Pour
Quel monde n'a pas connu le souffle Du neant Ressenti l'emoi devant les " Puissances Du dedans ", dis ? Quelle maison n'a jamais pleure Un enfant Quel
En moi, en moi toi que j'aime, Dis-moi, dis-moi quand ca n ' va pas, Il n'y a que ca qui nous gouverne, Dis-moi combien de fois ? Partager mon ennui le
Aeroport, aerogare mais pour tout l'or m'en aller c'est le blues, l'coup d'cafard le check out assure vienne la nuit et sonne l'heure et moi je meurs
Les jours de peine Fredonnent un je ne sais quoi la ritournelle des indecis, des quoi ? par habitude j'ai pris ce chemin d'incertitude ou mes va sont
Il m'a fallu l'impasse Donner ma langue au chat Pour contrer l'existence I.A.O/I.A.O Mon Q.I. est tenace Ma patience : un etat Dompter les apparences
Tant de jours De nuits trop breves Ces soupirs Que tu acheves Sans y croire, derisoire Tu voudrais D'un autre monde Je te sens La proie d'une ombre Illusoire
Loin tres loin du monde Ou rien ne meurt jamais J'ai fait ce long, Ce doux voyage, Nos ames se confondent Aux neiges eternelles L'amour cachait Son vrai
Dedans", dis? Quel frisson de m'aneantir Dans son ventre L'ocean a froid, ma vie comme la Fille de Ryan Paroles : Mylene Farmer Musique : Laurent Boutonnat
Sentir ton corps, Tout ton etre qui se tord Souriant de douleur Sentir ton heure Poindre au c?ur D'une chambre qui bannit le mot tendre Sentir ta foi
Toi qui n'as pas su me reconnaitre Ignorant ma vie, ce monastere, j'ai Devant moi une porte entrouverte Sur un peut-etre Meme s'il me faut tout recommencer
Fixement le ciel se tord Quand la bouche engendre un mort La je donnerai ma vie pour t'entendre Te dire les mots les plus tendres When all becomes all
Il est des heures, ou Les ombres se dissipent La douleur se fige Il est des heures, ou Quand l'etre s ' invincible La lepre s'incline Mais Si j'avais
Je veux du ' Vous '. Parce-qu' entre nous, c'est lentement C'est lent Le songe est doux Immensite des sentiments A perdre haleine Le ' Vous' me sied,
L'ange parle-moi ! Le plus vaste des coeurs se brise. Parle-moi ! L'hiver pourvu qu'on le cultive. Dans cette piece, Nul semble respirer, Ici, c'est un
Il est des heures, ou Les ombres se dissipent La douleur se fige Il est des heures, ou Quand l'etre s'invincible La lepre s'incline Mais Si j'avais pu
Chaque mot qu'on garde Chaque geste qu'on n'a fait, Sont autant de larmes, Qui invitent au regret 'Si j'avais su ' est trop tard, Machoire d'une pierre