Lorsque je suis ne Mes parents etonnes Fir'nt tout d'abord un drol' de nez Quand vint le docteur J'appris avec terreur Que j'aurai pu etre ma s?ur Quand
L'autre soir ayant des idees folles, J'entrais dans un grand au music hall, Et m'installais tout plein d'orgueil, Dans un fauteuil. On jouait une revue
{Elle:} Depuis que je t'ai vu Mon c?ur est tout emu Il a recu un choc Il fait toc toc {Lui:} Madame, que dites-vous ? Ah ca ! Deviens-je fou ? Je crois
Un soir a Caracas Jouant des maracas Je l'ai connue Danseuse a demi-nue Elle se tremoussait Moi, je la contemplais Et je n' sais plus Ce qui me plut le
J' connais une petite femme qu'a un beau p'tit jardin Un jardin tout en fleurs aux odeurs les plus fines Comme j'adore les parfums, je vais tous les matins
V'la longtemps qu'apres la soup' du soir, De d'ssus l'banc ousque je vais m'asseoir, Devant une femme, une merveille, Qu'elle est brune et qu'elle a les
Pour faire une bonne bouillabaisse Il faut se lever de bon matin Preparer le pastis et sans cesse Raconter des blagues avec les mains Les courageux prennent
Les gens du Nord, avec des airs d'envie, Demandent ce que c'est un cabanon Le cabanon, c'est toute notre vie, C'est tout, c'est rien, car ca n'a pas
Il est, dans la garnison, il est deux belles filles. Comme la rose en bouton, toutes deux sont gentilles. Elles ont, ca tient d'famille, une fossette
La fille de monsieur Mayer Rebecca s'est mariee avant-hier Elle a epouse l' fils Levy Le marchand d' robes du passage Brady Y avait la madame Pomeratzbaum
Pour votre fete, Mademoiselle Rose J' voulais vous apporter des fleurs Mais j' n'ai pas pu trouver des roses Qu'aient votre parfum et votre fraicheur
{Refrain:} Toi qui connais les Housards de la Garde N' connais-tu pas l' trombone du regiment ? Quel air aimable quand il vous regarde Eh bien, ma chere
Il y a des hommes qu'aiment les femmes genre nordique C'est trop lymphatique, ca ne m'emballe pas Moi, j'ai un faible pour ce qui est exotique C'est plus
C'etait la fille d'un teinturier Avec un visage regulier Un visage aux couleurs divines En elle, ce qui vous touchait C'etait son p'tit air detache Un
Dans un potager rempli de verdure Parmi les carottes et les artichauts Les beaux radis roses et les pommes mures Parmi la nature et les p'tits oiseaux
C'est dans un coin du bois d'Boulogne Que j'ai rencontre Felicie Elle arrivait de la Bourgogne Et moi j'arrivai en Taxi Je trouvai vite une occasion D
La chose est bien certaine Je n'etais pas un type verni Aujourd'hui, quelle aubaine Tous mes deboires sont finis J'avais avec constance Toujours subi
Je pense toujours A ce bel amour Qui dura je crois Un an moins quatre mois A quoi bon chercher A nous rapprocher Je ne veux rien te reprocher {Refrain