: Le navire est a quai Y a des tas de paquets Des paquets poses sur le quai Dans un petit troquet D'un port Martiniquais Une fille belle a croquer Pleure
: Je me rencroquemitoufle Au fond des pantoufles Quand tu n'es pas la Et je m'efilefiloche Comme un fond de poche Quand tu n'es pas la Je periclite,
: Pilou pilou pilou he Moi, j'attends le jour ou j'irai Au pays qu'a un joli nom (Au pays qu'a un joli nom) Tu me crois ou tu ne me crois pas Mais tout
: Si je pouvais revivre un jour ma vie J'oublierais bien ou j'ai pleure naguere Je construirais ce que j'ai demoli Et je ferais des anciennes miseres
: Si tu viens dans ma danse Si tu prends bien ma main Tu me porteras chance Et nous irons tres loin tous les deux Viens danser, viens danser, viens danser
: Il y a tout au long des marches de Provence Qui sentent, le matin, la mer et le Midi Des parfums de fenouil, melons et celeris Avec dans leur milieu
: Celui qu'on appelait le voyou de la plage, Qui vivait tout l'ete jambes nues, cheveux fous, Qui ne pavait jamais les gaufres ni les glaces, Qui te
: Elle s'habille comme lui d'un pantalon, d'un blouson. Quand on les rencontre la nuit, on dirait deux garcons. Leur visage parait masque. Comment deviner
Pilou pilou pilou he Moi, j'attends le jour ou j'irai Au pays qu'a un joli nom (Au pays qu'a un joli nom) Tu me crois ou tu ne me crois pas Mais tout
Le navire est a quai Y a des tas de paquets Des paquets poses sur le quai Dans un petit troquet D'un port Martiniquais Une fille belle a croquer Pleure
Si tu viens dans ma danse Si tu prends bien ma main Tu me porteras chance Et nous irons tres loin tous les deux Viens danser, viens danser, viens danser
Je me rencroquemitoufle Au fond des pantoufles Quand tu n'es pas la Et je m'efilefiloche Comme un fond de poche Quand tu n'es pas la Je periclite, decline
Elle s'habille comme lui d'un pantalon, d'un blouson. Quand on les rencontre la nuit, on dirait deux garcons. Leur visage parait masque. Comment deviner
Si je pouvais revivre un jour ma vie J'oublierais bien ou j'ai pleure naguere Je construirais ce que j'ai demoli Et je ferais des anciennes miseres Un
Celui qu'on appelait le voyou de la plage, Qui vivait tout l'ete jambes nues, cheveux fous, Qui ne pavait jamais les gaufres ni les glaces, Qui te jetait
Il y a tout au long des marches de Provence Qui sentent, le matin, la mer et le Midi Des parfums de fenouil, melons et celeris Avec dans leur milieu,