Comme dans le marbre J'ai grave profond Sur le tronc d'un arbre Ton nom et mon nom Avec un couteau Un si bel amour Ca s'ecrit en grand Tout simplement
Elle revient d'la fete de l'huma, elle est contente, elle a vu Johnny Elle a rode de ci de la, dans tous les stands du parti. Des posters de Che Guevara
C'est pas si fastoche d'arreter Cette putain de came en vente libre Y faut une sacree volonte Une determination terrible Chaque fois qu'j'arrete, c'est
Elsa, Est-ce que tu voudras d'un grand-frere Comme moi Maintenant qu' le tien s'est fait la paire Comme ca? J'le remplacerai jamais c'est clair Mais la
Ils vivent au bord d'la banlieue un petit coin silencieux On y va qu'un dimanche sur deux Obliges un peu Des fleurs parfois ca peut, ensoleiller les lieux
Entre ce sang qui coule sur le sable de l'arene Et fait vibrer la foule barbare, inhumaine Ce sang rouge qui jaillit Comme l'eau des fontaines Du taureau
Tu m'appelais « Papou » Surtout tu m'appelais Te pendais a mon cou Quand la vie t'effrayait Moi j'etais la pour te construire Le plus joli des avenirs
Tes yeux sont comme les pierres D'une riviere Qui ferait se damner le plus grand diamantaire Au fond de son echoppe dans le port d'Anvers Ce sont des
Huit]millions de tes freres Genocides naguere Sur ce]qui fut la terre Sacree de tes ancetres Et ils sont toujours fiers Du general Custer Des heros legendaires
Du cote est de la ville Au pied de la colline Y a une grande cheminee C'est le Belfast Mill Mais il n'y a plus de fumee Qui sort de la cheminee Car la
La foule est la bete elementaire, dont l'instinct est partout, la pensee nulle part. [Andre Suares] Paroles Alain Souchon Et pis musique aussi J'ecoute
Depuis deux mille ans tu te leves tous les matins Bien avant l'aube pour t'en aller becher la terre Avant que le grain ne devienne un morceau de pain
(Version espagnole, Interpretation : Melingo Adaptation : Ramon Chao / Eduardo Makaroff / Sergio Makaroff) Tres anos en la selva Atada y sin luz Rodeada
{Refrain:} Mary, marie-toi Avec l'amour, la vie Marie-toi avec la liberte La solitude aussi Epouse la cause encore De ton rebelle, ton insoumis Oh, mais
T'as vu Lolita, Ta pote Marylou, Qu'a quinze ans comme toi, Qu'j'ai connue bout de chou, T'as vu comme elle a change tout d'un coup ? Eh ben, ma doudou
Ils ont peut-etre eu peur que je pisse Sur le marbre du benitier Ou pire que je m'accroupisse Devant l'autel immacule Peur que je ne leve la patte Quelque
On reconnait le bonheur parait-il Au bruit qu'il fait quand il s'en va C'etait pas l' dernier des imbeciles Celui qu'a dit ca Le mien s'en est alle hier
On se connaissait peu, je le croisais parfois Dans un bar parisien, a deux pas de chez moi Nous buvions quelques verres jusque tard dans la nuit Etait